Suis-je recommandable ? La question qui change tout (et qu’on ose rarement se poser)
Lors du 3e atelier Kilink, les participants ont été invités à réfléchir à une question simple, mais puissante : suis-je vraiment recommandable ? À travers un travail personnel, chacun a pu évaluer ce qui facilite ou freine le bouche-à-oreille autour de son activité. L’idée du cercle de confiance a également été abordée : pas besoin de 1000 contacts, mais d’une poignée de personnes bien choisies. Enfin, la session s’est ouverte vers le numérique, avec les premières notions de référencement local, pour mieux comprendre comment être visible en ligne… et cohérent partout.
Ce matin, pour le troisième atelier Kilink, on a mis les pieds dans le plat.
Parce que pour activer un bon bouche-à-oreille, il faut commencer par se poser la vraie question :
"Est-ce que je suis vraiment recommandable ?"
Pas toujours facile d’y répondre, et encore moins de l’entendre. Mais ça fait partie du chemin.
Se regarder dans le miroir (en douceur)
Chacun a pris un temps pour réfléchir — individuellement, sans partage obligatoire — à ce qui, dans son attitude, son image ou ses pratiques, facilite ou freine la recommandation.
Car être recommandable, ce n’est pas être parfait.
Comme le rappelle cette citation de Chat Gepetto (merci Franck !) :
« Ce n’est pas la perfection qui déclenche la confiance, mais la clarté, la régularité et l’envie d’évoluer. »
Le cercle de confiance : 15 personnes, pas 1000
Autre idée forte du jour : le cercle de confiance.
Inutile de chercher à “réseauter” avec la terre entière.
Mieux vaut entretenir une relation sincère avec 15 ou 20 personnes bien choisies, qui vous connaissent suffisamment pour parler de vous avec justesse et naturel.
Mais attention : la confiance, ça se mérite et ça s’entretient.
Ce qu’on espère recevoir, il faut aussi savoir le donner… à sa manière.
Un pas vers Google (parce qu’on n’est pas que dans le monde réel)
En deuxième partie d’atelier, on a aussi parlé visibilité numérique, et plus précisément de comment être trouvé sur Google.
Pourquoi certains sont introuvables ? Pourquoi d’autres apparaissent alors qu’ils ne font « rien » ?
On a commencé à toucher du doigt la notion de référencement local, et on y reviendra très vite. Parce que, oui, le bouche-à-oreille digital, ça existe.
Chez Kilink, on n’emballe pas les choses dans du jargon marketing : on parle vrai, on bosse sur le fond, et on avance ensemble. Cet atelier a permis à chacun de se confronter, avec bienveillance, à des questions parfois inconfortables mais nécessaires. Et si tu te demandes toi aussi si ton image inspire confiance, si ton réseau fonctionne pour toi, ou si tu es introuvable sur Google…
👉 Viens tester une séance Kilink un vendredi matin à Pau. La première est offerte, mais elle pourrait bien marquer un vrai tournant pour ton activité.