Deuxième atelier Kilink : plus express, plus ciblé, toujours aussi chaleureux
Lors du deuxième atelier Kilink du 11 juillet 2025, l’ambiance monte d’un cran. Les présentations express deviennent plus fluides, les échanges plus naturels. Franck a martelé un message simple : en communication, tout le monde = personne. Il a introduit le concept de Persona, outil clé pour cibler efficacement. On a aussi parlé bouche-à-oreille, non pas comme une astuce marketing, mais comme une posture à cultiver. Et en fin de session, petit teaser : et si le référencement naturel n’était qu’un bouche-à-oreille… version Google ? Suite au prochain épisode.
Ce vendredi matin, l’accueil café était encore plus spontané que la semaine dernière. Les liens commencent à se tisser, les visages deviennent familiers, et ça se sent : l’énergie du groupe monte d’un cran.
Premier constat : les présentations express s’affinent. On frôle désormais les 15 secondes, et chacun parvient à se présenter de manière plus claire, plus mémorisable, sans (trop) s’éparpiller.
Cibler, cibler, cibler
Franck a ensuite martelé son message du jour (oui, au moins 12 fois) :
"Quand on parle à tout le monde, on ne parle à personne."
Il a donc introduit la notion de Persona, ce portrait réaliste et semi-fictif du client idéal, qui permet de mieux choisir ses mots, ses supports, ses actions. Une boussole pour toute communication efficace.
Le bouche-à-oreille : une affaire de posture
Autre moment fort : la discussion autour du bouche-à-oreille. Fort de son expérience dans les réseaux d’affaires, Franck a partagé sa vision :
👉 Le bouche-à-oreille n’est pas une technique magique, mais une posture, une philosophie.
👉 On ne le décrète pas. On le cultive. Et surtout, on le mérite.
Les échanges ont confirmé que cette approche locale, humaine, enracinée dans le réel, reste l’un des leviers les plus puissants… à condition de s’en donner les moyens.

Chez Kilink, on ne considère pas le bouche-à-oreille comme un outil marketing à activer sur commande, mais comme une conséquence naturelle d’un travail de fond.
On ne part pas en chasse. On ne collectionne pas les cartes de visite.
On sème des liens sincères, on nourrit des échanges de qualité, et on prend soin du réseau local. Comme un cultivateur avec son champ, on avance à son rythme, avec patience, régularité et respect.
Le bouche-à-oreille vient alors comme une récolte méritée, pas comme un hasard.Kilink, c’est justement cet espace pour apprendre à cultiver des relations solides et réciproques, entre pros qui se comprennent et qui s’entraident.
Et si le bouche-à-oreille… rejoignait Google ?
Pour conclure, une ouverture intrigante : Franck a introduit les bases du référencement naturel (le fameux « SEO »).
Une idée forte a émergé :
"Et si le référencement naturel n’était qu’une forme numérique du bouche-à-oreille ?"
Un parallèle audacieux… que l’on explorera très bientôt dans les prochains ateliers.
Bilan : on avance vite, mais on avance bien
Ce deuxième atelier a confirmé ce que l’on pressentait déjà : chez Kilink, on avance vite, mais on avance bien. On apprend à se présenter avec clarté, à parler à la bonne cible, à faire du bouche-à-oreille un vrai levier, et même à réfléchir à sa présence en ligne autrement. L’ambiance est pro, bienveillante, stimulante — et on ne reste jamais seul face à ses questions.
👉 Tu veux tester l’aventure Kilink ? Viens un vendredi matin, c’est sans engagement pour la première séance. Tu verras vite si ce groupe peut t’aider à faire décoller ton activité (spoiler : probablement oui).