Portrait de David Taillefer, coach en développement commercial, expert de la prospection et de la relation client.

David Taillefer : le coach qui remet les moteurs commerciaux en route

Découvrez David Taillefer, coach et formateur en développement commercial entre Bordeaux, Toulouse et le Pays Basque. Son approche, loin des recettes toutes faites, repose sur l’observation, l’action concrète et un suivi régulier. Avec bienveillance et pragmatisme, il aide les commerciaux à reprendre confiance, structurer leur prospection et retrouver des résultats durables. Son crédo : l’hygiène de prospection et la qualité des relations, pour transformer les ventes sans perdre le sourire.

L’homme qui préfère les voitures aux PowerPoint

« Entre observation, bienveillance et action concrète, il accompagne les commerciaux pour transformer la prospection en résultats durables. »

Voici David Taillefer, l’homme qui remet des moteurs commerciaux en route sans lever la voix — et souvent sans PowerPoint. Coach et formateur en développement commercial, il a choisi un terrain de jeu en forme de grand triangle : Bordeaux, Toulouse et Pays Basque. Dans cette zone, il accompagne vendeurs itinérants et vendeurs sédentaires avec une boussole unique : l’action concrète.

«Je ne suis pas là pour dire : tu vas faire ça dorénavant. Je veux que la personne sente qu’elle progresse et qu’elle pourra continuer seule.»

Observer avant d’agir

Sa méthode tient en un mot : observer. David grimpe volontiers dans la voiture avec les commerciaux, pose des questions simples — « Pourquoi là ? Qui voir aujourd’hui ? » — et laisse la vraie vie faire son œuvre. Pas question d’interrompre une vente pour donner une leçon : les débriefs se font ensuite, au calme, parfois au restaurant.

Je préfère ne rien savoir sur les gens avant de commencer. Pas d’étiquette, pas de préjugés. Juste une phase d’observation.

Chaque séance débouche sur un plan d’action individuel. On essaie, on revient, on ajuste. Une logique de coconstruction qui permet au stagiaire de s’approprier ses progrès.

Redonner confiance avant tout

Ce qui anime David, c’est de redonner confiance à ceux qui pensent l’avoir perdue. Ses clients arrivent parfois bardés de commentaires venus d’en haut : « Il a tel caractère », « Elle a telle habitude »… Lui préfère repartir d’une page blanche.

«J’adore ce moment où quelqu’un qui me dit “je n’y crois plus” redécouvre qu’il sait faire.»

Sa conviction est simple : on peut réapprendre à trouver des clients. Que ce soit en frappant aux portes, en soignant son suivi, ou en apprivoisant les réseaux sociaux. Mais il le rappelle souvent avec humour : pas en pyjama, derrière un écran, en attendant que le téléphone sonne tout seul.

Sa marotte : l’hygiène de prospection

L’expression peut faire sourire, mais elle est parlante. David prêche une « hygiène de prospection » : deux rendez-vous hebdomadaires avec… la prospection elle-même. Bloqués dans l’agenda, sanctuarisés

« J’incite mes stagiaires à se fixer deux rendez-vous par semaine avec leur prospection. Comme avec un banquier, sauf que celui-ci ne prend pas de frais.»

Peu importe le canal — terrain, téléphone, mail, réseaux — l’essentiel est de garder la régularité. Pour lui, la prospection est un tableau de bord rempli de leviers : il faut tester, mesurer, garder ce qui mène vraiment à un client et couper le reste.

La qualité avant le volume

Au cœur de sa philosophie, une question simple précède toute action : quelle qualité de relation commerciale veut-on construire ? Veut-on du lead en masse ou des relations durables ? Lui penche clairement pour le café en face-à-face : en cinq minutes, dit-il, une rencontre peut accélérer une collaboration plus sûrement que 500 e-mails.

«Est-ce que je veux 100 prospects automatiques ou 10 clients avec qui bâtir une relation solide ? Voilà la vraie question.»

Un guide plus qu’un gourou

David Taillefer n’est pas de ceux qui assènent des recettes toutes faites. Quand on lui demande depuis quand il fait ce métier, il répond avec humour : « Depuis que je suis né, je le faisais déjà à l’école. » Avec ses milliers de stagiaires formés et ses centaines d’entreprises accompagnées depuis 2012, il aurait de quoi bomber le torse. Mais il préfère rester ce copilote attentif, capable d’encourager sans dramatiser.

Portrait-robot : un coach qui ne joue pas au héros, un formateur qui ne confond pas slides et résultats, un compagnon de route qui sait quand parler… et quand laisser conduire. Avec lui, on ne “fait pas du commerce”. On réapprend à rencontrer des humains — et à faire du chiffre sans perdre le sourire.

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