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“Simple et gratuit” ? Le grand malentendu du marketing digital

(et c’est tant mieux)

Le marketing digital a-t-il tenu ses promesses ? Pas vraiment selon le coordinateur de l’équipe Kilink. Réseaux sociaux, site web, publicité en ligne : tout cela fonctionne… mais demande de l’expertise, du temps, ou de l’argent. Kilink aide les entrepreneurs à faire le tri, à se former sans se noyer, et à remettre un peu d’intelligence dans leur communication digitale. Un regard lucide (et un brin caustique) sur les illusions du web, et les vrais leviers à activer pour se rendre visible sans y laisser sa santé mentale. À lire absolument pour éviter les fausses pistes et gagner en clarté.

“Le digital, c’est censé être simple. C’est censé être gratuit. C’est censé faire exploser mon chiffre d’affaires. Sauf que… non.”
Franck, le coordinateur de l’équipe Kilink, ne mâche pas ses mots quand on l’interroge sur les promesses du marketing digital. Et il sait de quoi il parle. Ces dernières années, il a vu défiler des dizaines d’entrepreneurs, tous convaincus qu’un compte Instagram et un site Wix suffiraient à remplir leur agenda. Spoiler : ça ne marche pas (toujours).

“On nous a vendu du rêve : l’idée qu’avec un smartphone et deux posts LinkedIn on allait percer. Ce qu’on n’a pas dit, c’est que sans budget, sans méthode, et sans régularité, le digital devient un gouffre à énergie.”

📉 Du gratuit… qui coûte cher

La première illusion, c’est celle de la gratuité. “Oui, ouvrir un compte Facebook est gratuit. Mais toucher les bonnes personnes, leur parler avec les bons mots, et créer de l’engagement régulier, ça, c’est du travail. Et souvent, ça demande de la pub. Donc du budget.”

Même chose côté site web. “Aujourd’hui, avoir un site mal fichu ou non responsive, c’est comme ne pas exister. Et si votre prospect clique sur votre lien après avoir tapé votre nom… et tombe sur une page vide, vous venez de perdre une opportunité.”

📱 Les réseaux sociaux ? Outils puissants… pour ceux qui savent s’en servir

“Publier pour publier, ça ne sert plus à rien. L’algorithme choisit ce qu’il montre. Donc si vous ne publiez pas ce que l’algorithme attend, il vous ignore. Et vous, vous êtes frustré parce que votre post a fait trois likes, dont votre belle-sœur.”

Franck poursuit : “Et en plus, tout le monde se met à publier la même chose, souvent généré par des IA. On finit par voir les mêmes citations motivantes recyclées. Le résultat ? Plus personne ne lit. Trop de contenu tue le contenu.”

✅ Ce qui fonctionne encore

Heureusement, il y a des exceptions. “LinkedIn peut encore être très efficace en B2B, à condition d’y aller franchement : envoi de messages, interactions ciblées… on se rapproche d’une démarche commerciale directe.”

Côté grand public ? “Instagram fonctionne si vous avez de l’image forte. Et YouTube ou TikTok sont très puissants pour ceux qui n’ont pas peur de la caméra.”

Et le bon vieux site internet ? “Indispensable. Mais pas suffisant. Il doit être clair, à jour, bien référencé, et relié à votre image globale. C’est votre vitrine.”

💡 Et Kilink dans tout ça ?

C’est là que le projet Kilink prend tout son sens. “Notre idée, c’est d’aider les entrepreneurs à choisir leurs combats. À comprendre où investir leur temps, leur énergie, ou leur argent. Et surtout, à ne pas se décourager.”

Chaque semaine, l’équipe Kilink se réunit à Pau pour se former, avancer concrètement sur sa communication, et mettre en place les outils qui fonctionnent vraiment. Et comme on n’a pas tous les moyens de déléguer à une agence, Kilink propose d’apprendre à le faire soi-même… mais intelligemment, en priorisant ses actions pour ne pas se perdre dans trop de combats.


Cet article fait partie d’une série consacrée aux grands constats qui ont inspiré la création de Kilink.
Envie de prendre du recul sur votre stratégie commerciale et communication ? Découvrez aussi :

👉 Pourquoi le marketing digital ne tient pas ses promesses
👉 Le bouche-à-oreille est puissant, mais il faut savoir l’activer
👉 Et si on arrêtait de croire que les clients allaient tomber du ciel ?

Ces trois textes se lisent indépendamment, mais ensemble, ils dessinent une autre manière de penser le développement de son activité. Plus humaine. Plus lucide. Et plus efficace.

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Il n’existe plus une seule façon de prospecter

(et c’est tant mieux)

Dans un monde où les canaux de communication se multiplient, il n’existe plus une seule façon de prospecter. Chaque entreprise doit trouver son propre équilibre entre stratégie digitale, réseau local, bouche-à-oreille et prospection directe. Le défi : ne pas se disperser, mais prioriser intelligemment selon ses objectifs, ses moyens et ses compétences. L’accompagnement proposé par Kilink permet d’avancer concrètement, pas à pas, avec des outils simples et un cadre régulier. Apprendre, tester, structurer sa com’ et surtout passer à l’action : c’est la philosophie de cette formation-action collective.

Pendant longtemps, la prospection commerciale s’est appuyée sur un nombre limité de leviers : le phoning, les rendez-vous terrain, les salons professionnels, voire la publicité dans la presse. Ces outils traditionnels n’ont pas disparu, mais ils ne suffisent plus. Aujourd’hui, pour développer son chiffre d’affaires, il ne peut plus y avoir une seule façon de prospecter ou de communiquer. Les entreprises doivent apprendre à jongler avec plusieurs méthodes, plusieurs canaux, et plusieurs formats de contenu.

Cette diversité des outils de communication et de prospection est une chance, mais aussi un véritable défi. Parce que chacun d’entre nous dispose d’un temps limité, de compétences variées, et de ressources inégales. Il faut donc apprendre à prioriser.

Multiplier les leviers… mais pas au hasard

Il serait tentant de vouloir être partout. De lancer une campagne Adwords tout en animant un compte TikTok, en préparant une newsletter, en assistant à des réseaux d’affaires, et en investissant dans un nouveau site web. Mais être partout, c’est souvent finir nulle part.

Ce que nous avons appris, chez Kilink, c’est que les meilleures stratégies ne sont pas les plus visibles, ni les plus chargées. Ce sont celles qui sont cohérentes avec les objectifs de l’entreprise, le profil de ses clients, et les compétences de la personne qui porte la communication.

Un consultant indépendant qui travaille à 20 km de Pau n’a pas les mêmes besoins qu’une structure de 10 personnes qui vise une clientèle régionale ou nationale. Un professionnel de la santé n’aura pas les mêmes contraintes qu’un artisan ou un formateur. C’est pourquoi il n’y a pas de méthode unique. Il y a des stratégies personnalisées, à construire pas à pas.

Ne pas perdre de temps… mais oser tester

En formation, on voit souvent cette peur de l’erreur : « Et si je me trompais de support ? », « Et si je perdais mon temps ? », « Et si personne ne voyait ma publication ? ». En réalité, il est préférable de faire un test imparfait que de rester dans l’immobilisme.

Chez Kilink, chaque participant est invité à expérimenter. Un post LinkedIn, une fiche Google mieux optimisée, un flyer bien pensé, une prise de parole devant le groupe… Les petits pas comptent. Et ces petits pas, une fois alignés, créent une vraie dynamique.

La priorité, c’est de sécuriser les fondamentaux : être trouvable sur le web, avoir un message clair, une présentation prête, un pitch qui fonctionne. Puis, on peut aller plus loin.

Mieux vaut un cadre régulier qu’un sprint isolé

Dans la vraie vie, on ne peut pas réserver 3 jours par mois pour « travailler sa com ». Entre les clients, les imprévus, la vie perso, il faut réussir à avancer par petites touches, mais avec régularité.

C’est tout l’esprit de Kilink : un rendez-vous hebdomadaire, chaque vendredi matin, où l’on avance à la fois sur ses compétences et sur ses actions. Pas à pas, accompagné, dans un cadre bienveillant mais exigeant.

On y apprend les bases d’une stratégie web, on y réfléchit à sa différenciation, on s’entraîne à pitcher, à prospecter, à améliorer ses outils. On ne subit pas une formation théorique : on travaille pour soi, sur soi, au service de son activité.

Des outils simples, mais encore faut-il les connaître

Tout le monde n’est pas community manager, tout le monde n’est pas vendeur. Pourtant, on peut tous apprendre à mieux communiquer, à mieux se vendre, à mieux valoriser notre travail.

Beaucoup d’outils sont accessibles. Mais encore faut-il :

  • savoir qu’ils existent,
  • comprendre à quoi ils servent,
  • être accompagné pour les prendre en main,
  • avoir un endroit pour poser ses questions.

C’est ce qu’offre le collectif Kilink : une formation-action ancrée dans la réalité, où l’on construit sa stratégie et où l’on agit, semaine après semaine, sans pression mais sans pause.

Ne restez pas seul : entrez dans l’équipe.

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Kilink : Un nom qui en dit long (sans en dire trop) !

Kilink, c’est bien plus qu’un nom : c’est une déclaration d’intention. Court, percutant, mémorable, ce mot hybride né d’un fruit vitaminé (le kiwi) et de la notion de lien symbolise à merveille notre groupe d’entraide pour booster la communication et le développement commercial local. Il évoque l’énergie, l’action, la connexion humaine — tout ce qu’il faut pour faire grandir son chiffre d’affaires avec intelligence et convivialité. Pensé comme un “maillon-clé”, Kilink rassemble les entrepreneurs et responsables engagés dans leur territoire… avec une bonne dose d’audace, d’humour et de bon sens.

Kilink : Un nom qui en dit long (sans en dire trop) !

Trouver le nom parfait pour un projet est, paraît-il, un art à part entière. Ça s’appelle le naming, et si vous pensez que c’est facile, c’est sûrement parce que vous ne l’avez jamais fait ! Chez nous, après des brainstorming qui ressemblaient parfois davantage à des batailles d’idées qu’à des réunions civilisées, un nom a finalement émergé, tel un fruit bien mûr : Kilink.

Un petit nom court, mais costaud !

« Kilink » a tout ce qu’il faut pour séduire immédiatement : court, incisif, facile à mémoriser et surtout énergisant. Ce nom porte en lui l’énergie positive d’un fruit vitaminé — le kiwi — et cette subtile idée du lien : le lien qui rassemble, le lien qui rapproche, le lien qui connecte durablement. Bref, Kilink, c’est un peu comme un smoothie énergétique pour votre business, sauf que personne n’aura à éplucher quoi que ce soit.

Une belle énergie pour booster vos projets locaux

Notre projet repose entièrement sur l’idée d’un groupe de travail convivial et régulier, dédié à tous ceux et celles qui ont à cœur de dynamiser leur chiffre d’affaires local grâce à une communication intelligente et une entraide structurée. Kilink, par sa sonorité percutante, évoque spontanément le dynamisme, la réactivité, et cette petite pointe d’audace qui fait toute la différence quand il s’agit de booster son activité.

Le lien-clé de votre succès commercial

Avec Kilink, nous avons réussi l’exploit de condenser notre promesse en deux syllabes seulement : « ki » pour le côté vitaminé, énergisant, joyeux et rafraîchissant, et « link » pour symboliser le lien humain, la collaboration et le réseautage efficace. D’ailleurs, on pourrait presque croire qu’on a payé très cher une agence de naming réputée pour cette trouvaille subtile, alors que soyons honnêtes, tout est parti d’un simple kiwi…

Une identité forte prête à se déployer

Visuellement parlant, Kilink est idéalement conçu pour devenir un logo distinctif et mémorable. Imaginez simplement ces lettres élégantes, équilibrées et un peu punchy sur votre site web, vos cartes de visite ou votre profil LinkedIn. Avec Kilink, on sait déjà qu’on pourra jouer graphiquement sur le cercle, le maillon, le réseau, tout en gardant ce petit côté sympathique et accessible qui nous ressemble.

Un vrai potentiel sur le web et les réseaux sociaux

Le nom Kilink est suffisamment distinctif pour se démarquer en ligne tout en restant intuitif à écrire et à prononcer. C’est le genre de nom qui se glisse facilement dans les hashtags, les slogans ou même les phrases d’accroche sur Instagram, LinkedIn ou Facebook. Et si par hasard vous avez déjà tapé « Kilink » sur Google pour voir ce que ça donnait, vous aurez remarqué que les résultats sont peu nombreux. Ça, en langage SEO, ça veut dire : voie libre vers la première place !


En résumé, choisir Kilink, c’est faire le pari d’un nom dynamique, fédérateur, vitaminé et parfaitement adapté à un groupe ambitieux qui a compris que le succès commercial passe avant tout par le lien humain et une communication locale authentique. Et avouons-le humblement, avoir un nom aussi bien trouvé, ça ne gâche rien !

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Kilink, petite histoire du nom parfait…

… du nom parfait, (presque) trouvé par hasard !

Trouver un nom pour un projet ? Une aventure à la fois créative, épuisante… et parfois hilarante. Chez nous, tout a commencé avec un fruit : le kiwi. Frais, vitaminé, convivial. On y a ajouté l’idée de lien — parce que c’est notre métier : connecter les gens pour faire grandir leur activité. De KiwiLink, est né naturellement Kilink. Court, punchy, singulier, et résolument à notre image. Kilink, c’est le nom d’un collectif joyeux, commercial et local, pour tous ceux qui veulent développer leur activité autrement. Et maintenant qu’on l’a trouvé, plus question de recommencer !

Vous avez déjà essayé de trouver un nom pour un projet ? Non ? Alors vous ne savez pas ce que vous manquez. Enfin, si : vous manquez quelques nuits blanches, beaucoup de café et surtout une dose massive de patience. Parce que figurez-vous que cette affaire-là a même un nom officiel : le naming. Rien que ça. Et c’est tout un métier, un art presque mystique qui consiste à trouver LE nom parfait, celui qui résiste à toutes les crises existentielles du type « c’est génial ! » à 9h02 et « c’est atroce ! » à 9h04.

Chez nous, évidemment, on n’a pas échappé à la règle. On avait une équipe de créatifs, des pros de la communication, des cerveaux qui bouillonnaient d’idées… Mais plus on creusait, plus c’était compliqué. Chaque idée, même la plus brillante, passait vite à la trappe : déjà prise par une start-up obscure du Nebraska, signifiant quelque chose de douteux dans une langue oubliée, ou juste franchement impossible à prononcer après deux verres. Bref, un joyeux cauchemar.

Pourtant, on avait un brief simple. Enfin, c’est ce qu’on pensait naïvement. On voulait quelque chose de court, vitaminé, optimiste, qui évoque immédiatement l’idée d’un cercle soudé, d’une équipe joyeuse, dynamique, efficace, tournée vers la performance commerciale et la communication locale. Facile, non ? (Spoiler : non.)

À un moment donné, on a pensé au kiwi. Oui, le kiwi, ce petit fruit sympathique, frais, naturel, bourré de vitamines. Le kiwi, c’est court, ça sonne bien, c’est convivial, on peut le partager, ça respire l’optimisme. Alors on a ajouté l’idée de lien, parce que c’est bien ça notre métier : connecter les gens, créer du lien commercial et humain. Kiwi + Link = KiwiLink. Parfait. Enfin presque parfait. Pendant des semaines, KiwiLink a été notre nom de code.

Mais vous savez comment ça se passe. À force de dire KiwiLink vite, très vite, trop vite peut-être, le nom a évolué tout seul. Un jour, on s’est surpris à dire juste « Kilink ». On a souri, intrigués, puis on l’a répété encore et encore. Kilink, Kilink, Kilink. Finalement, on s’est rendu compte que Kilink avait tout ce qu’on cherchait : court, dynamique, facile à retenir, et surtout unique.

Alors voilà, notre projet s’appelle désormais Kilink. Ça claque, non ? Enfin, nous on aime. Et si vous aussi vous êtes entrepreneur, commerçant, indépendant, salarié avec des responsabilités commerciales, et que vous cherchez à développer votre chiffre d’affaires en créant du lien localement, venez nous rejoindre !

Et promis, on ne vous demandera pas de trouver le nom d’un autre projet. Une fois dans une vie, c’est largement suffisant !

ps: par ici, on vous en dis plus sur les recherches effectuées pour valider ce nom