(et c’est tant mieux)
Dans un monde où les canaux de communication se multiplient, il n’existe plus une seule façon de prospecter. Chaque entreprise doit trouver son propre équilibre entre stratégie digitale, réseau local, bouche-à-oreille et prospection directe. Le défi : ne pas se disperser, mais prioriser intelligemment selon ses objectifs, ses moyens et ses compétences. L’accompagnement proposé par Kilink permet d’avancer concrètement, pas à pas, avec des outils simples et un cadre régulier. Apprendre, tester, structurer sa com’ et surtout passer à l’action : c’est la philosophie de cette formation-action collective.
Pendant longtemps, la prospection commerciale s’est appuyée sur un nombre limité de leviers : le phoning, les rendez-vous terrain, les salons professionnels, voire la publicité dans la presse. Ces outils traditionnels n’ont pas disparu, mais ils ne suffisent plus. Aujourd’hui, pour développer son chiffre d’affaires, il ne peut plus y avoir une seule façon de prospecter ou de communiquer. Les entreprises doivent apprendre à jongler avec plusieurs méthodes, plusieurs canaux, et plusieurs formats de contenu.
Cette diversité des outils de communication et de prospection est une chance, mais aussi un véritable défi. Parce que chacun d’entre nous dispose d’un temps limité, de compétences variées, et de ressources inégales. Il faut donc apprendre à prioriser.
Multiplier les leviers… mais pas au hasard
Il serait tentant de vouloir être partout. De lancer une campagne Adwords tout en animant un compte TikTok, en préparant une newsletter, en assistant à des réseaux d’affaires, et en investissant dans un nouveau site web. Mais être partout, c’est souvent finir nulle part.
Ce que nous avons appris, chez Kilink, c’est que les meilleures stratégies ne sont pas les plus visibles, ni les plus chargées. Ce sont celles qui sont cohérentes avec les objectifs de l’entreprise, le profil de ses clients, et les compétences de la personne qui porte la communication.
Un consultant indépendant qui travaille à 20 km de Pau n’a pas les mêmes besoins qu’une structure de 10 personnes qui vise une clientèle régionale ou nationale. Un professionnel de la santé n’aura pas les mêmes contraintes qu’un artisan ou un formateur. C’est pourquoi il n’y a pas de méthode unique. Il y a des stratégies personnalisées, à construire pas à pas.
Ne pas perdre de temps… mais oser tester
En formation, on voit souvent cette peur de l’erreur : « Et si je me trompais de support ? », « Et si je perdais mon temps ? », « Et si personne ne voyait ma publication ? ». En réalité, il est préférable de faire un test imparfait que de rester dans l’immobilisme.
Chez Kilink, chaque participant est invité à expérimenter. Un post LinkedIn, une fiche Google mieux optimisée, un flyer bien pensé, une prise de parole devant le groupe… Les petits pas comptent. Et ces petits pas, une fois alignés, créent une vraie dynamique.
La priorité, c’est de sécuriser les fondamentaux : être trouvable sur le web, avoir un message clair, une présentation prête, un pitch qui fonctionne. Puis, on peut aller plus loin.
Mieux vaut un cadre régulier qu’un sprint isolé
Dans la vraie vie, on ne peut pas réserver 3 jours par mois pour « travailler sa com ». Entre les clients, les imprévus, la vie perso, il faut réussir à avancer par petites touches, mais avec régularité.
C’est tout l’esprit de Kilink : un rendez-vous hebdomadaire, chaque vendredi matin, où l’on avance à la fois sur ses compétences et sur ses actions. Pas à pas, accompagné, dans un cadre bienveillant mais exigeant.
On y apprend les bases d’une stratégie web, on y réfléchit à sa différenciation, on s’entraîne à pitcher, à prospecter, à améliorer ses outils. On ne subit pas une formation théorique : on travaille pour soi, sur soi, au service de son activité.
Des outils simples, mais encore faut-il les connaître
Tout le monde n’est pas community manager, tout le monde n’est pas vendeur. Pourtant, on peut tous apprendre à mieux communiquer, à mieux se vendre, à mieux valoriser notre travail.
Beaucoup d’outils sont accessibles. Mais encore faut-il :
- savoir qu’ils existent,
- comprendre à quoi ils servent,
- être accompagné pour les prendre en main,
- avoir un endroit pour poser ses questions.
C’est ce qu’offre le collectif Kilink : une formation-action ancrée dans la réalité, où l’on construit sa stratégie et où l’on agit, semaine après semaine, sans pression mais sans pause.
Ne restez pas seul : entrez dans l’équipe.